mardi 17 avril 2018

Feinal - JUKE BOXE FINAL AUX BARS BLEUS


Feinal –  JUKE BOXE FINAL AUX BARS BLEUS -part 1.

(Les figures mythologiques, ici, sont Skip James,
Willie Dixon, Pete Towshend et Paul Weller)

Zéro – 20 janvier [toudis su l’coechie / Toujours sur la route] Pàrehl à din in Alabama by Soul Cool ‘Trane, 
aux alentours des poussières des rendez-vous manqués, au Bar Bleu, je caresse, en cathédrale vide d’Amiens, l’horizon du fil à retordre ou le blues du plomb dans l’aile si tu préfères.

À l’errance du 


R 


pauvre sur le bitume du 


D 

jeté au fils en mélopées dépouillées de Paris-Texas incarnées en la voix de Jeffrey Lee Pierce. 
Le vide est une érection comme la Tour Effeil : Voor al die onde Mother fuckers, zoals ik ! 
…Déployes mon paternel itinéraire dans la duperie de notre bébé volé, notre ange déchu ; et à jamais… J’avance jusqu’à NOUS à (ré) inventrer… Pour Toujours. 

Partie 1 – 21 janvier. Comme un chien dans le onze mitraillé par delà Beauvais, aux alentours du gel magique d’une nuit de lune-Louve, au Bar Bleu, pareil au d’un Juke Joint oublié de New Ibéria, aussi j’ai croisé par deux fois et échangé des mots au sombre manteau écossais qui dansait sans penser entre les tables au son du T.B Sheet...
...de Van Morisson dont la voix de rocailles glisse toujours sur ma peau et me rentre en corps telle une falaise blanche qui plonge dans la Mer : 

I’m Blue, car ils n’avait plus de territoire, murmuraient en chantonnant entre leurs dents pourries, les geux pionniers irlandais, exilés aux Amériques, les jours de cafard en regardant l’ Océan en fixant la ligne d’horizon en espérant entendre : 

GLORIA ! 
Partie 2 – 22 janvier. Comme une promesse sous vous banquises, aux alentours du détroit du Loup, au Bar Bleu, je m’enterre au travail inquiet, aux cheveux de la lumineuse du 


et aux lèvres d’Or de l’absence du 


Y
,aux volutes jazzy’s de 
Mélanie De Basio...

...en l’Archiduc in Brusseld dont les cordes vocales tissent la longue caresse incertaine identique à une inscription de Louis Scutenaire : 
Construire, c’est nourrir un Loup. 

Je n’ai plus de lieux fixe… Chantonnant en chiffonnant entre mes dents, picard courant au seuil de la fin de la parole, en fixant à mes rétines votre Musique. 

Partie 3 – 23 janvier. Comme dans l’invisible forêt oubliée, aux alentours de Gaza, au Bar Bleu [de ma mémoire] je parcours la sente humide des gens de pluie à la vivacité du 
C 


et à la Dignité du 



M 
au panache ébouriffé de la queue de  l'écureuil qui s'envole de sa niche du creux du tronc blanc de l’arbre décapité. Le silence est désert où fleurit la Musique et la Musique cette fleur… Croasse le corbeau de Lénore...

...dressé au faîte de l’arbre blanc. Palestinienne fidèle, venant des blancs silences des cailloux de la Paix. La pluie nourricière remplace la soif du gel et sifflotante la stridence aiguisée au petit cri de l’ Ecureuil de Gaza. 

Partie 4 – 24 janvier. 


[Jamais, jamais la chanson pour Europe.] 
Comme aux seins écarlates du sexe aphone de la course court-circuitée du Man de Le Mans : 
C’était le fils du père Fouettard, 
elle s’appelait Marie Noël, 
j’étais Jean Balthazar…
...chante le partouzeux de l’ivresse des fleurs, chancelant aux orgues mécaniques du limonaire d’Herzelle. 

À l’approche des brunes bleues d’Ostende, et le spleen des bulles Enoïdales du silence puis le : 
À jamais, jamais…. 
De la 
fée Europe. 

Le 18 juin 2017 en ClamArt...
modifié le 18 avril 2018 en Dwai...
...À suivre...

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