Épilogue
des Chants
des quatre nouvelles branches du Mabinogi
Post
face et pile ou Les quatre temps de l'écrit, un épilogue sans craie
Récit
métaphorique à plusieurs registres, Les Chants des quatre nouvelles
branches du Mabinogi de Christian-Edziré Déquesnes est aussi une
recueil de textes structuré autour de grandes œuvres littéraires
fortement imprégné d’autres disciplines : arts plastiques,
musiques, palabres y sont autant de fils conducteurs incandescents
pour atteindre la perspective suromantique qui suivra. Une
mémoire pliée et dépliée en quatre thématiques ou orientations :
artistique
et littéraire car il
s’agit d’un recueil de textes poétiques de la bouche temple
éprouvés par le corps du poète. La langue s’y distingue en
météore, en métaphore polysémique. La deuxième orientation qui
serait peut-être le point de départ : la mythologie dilatée
de l’humanité où finalement l’espoir s’entête face à la
désillusion. Enfin, parce que gigantesquement, les ingénus
éprouvent ce recul nécessaire à la compréhension des chutes et
des remontées, la mémoire historique, autobiographique et
biographique constituent les troisième et quatrième thématiques
dans lesquelles le lecteur peut trouver sa propre nudité. Une base
posée pour un onirisme éveillé à différentes échelles qui se
superposent et se mélangent. Parce que son héros est en prise avec
les errances percluses en toutes les joies : l’injustice, la
condition H, l’amour ! Ce périple nous prend aux tripes par
son refus du désenchantement et sa résistance foisonnante
persiste après lecture.
I.
Musique et artistique des langages, de l’écrit au geste et du
geste à l’écrit
La
langue poétique
s’exprime
ici par
une combinaison de français
et de picard
où rythme
et métrique se
définissent en fonction
des
battements et
des élans du cœur selon
la
loi anthropoémétrique
universelle et
à la connaissance
sensitive et
mentale de la Grande Picardie. Le
tout dans
une double pulsation
où
la
concomitance des
mouvements cadencés de
punk
blues
beatnik disco
rock’n’roll
salsa disco
est orchestrée
par le premier
de cordée de
la citole1
enchantée du mani boogie.
Des
références musicales et poétiques telles
des oiseaux aux cœurs
envolés, ont
parsemé les
pops notes écrites à
l’encre éclectique
bleue.
Ceux-ci viennent
chanter leurs oraisons de funambules perchés à l’intérieur des
têtes. Un chant gaélique
avec des
irrévérences et
résurgences
tourbillonantes
extraites d’une
mine de prières
précieuses adressées aux plus humbles comme aux plus grands.
Et c’est bien là toute sa force, face à la
latéralité
asymétrique
du monde se
tire la langue.
Lexis :
En
chemin sur les voies de traverse brodées du temps, s’élève
peu à peu, une ode aux élixirs divins et farfelus, aux poisons du
temps et à la démonstration d’une fusion avec les mille et uns
désirs linguistiques et leurs cris lexicaux, leurs styles.
Célébration poétique à l’image des variances de troubadours,
changeant les rythmes et les thématiques pour une lecture au long
cours, les branches du Mabinogi sur
lesquelles le
cœur du
lecteur se pose avant
l’envol grâce à la
scansion à double rythme
dans la violence
contemporaine imaginale où se bousculent les siècles agités.
Le
corps est immédiateté, une
écriture gestuelle
décalée des
lieux communs par promenade incorporée. Dans
le texte des
parties
sont
citées
de
retour à la surface du verbe, entrechoquées :
aiguilles,
balafres,
carcasse, chair, cervelle, crâne, cul, doigt, épaules, intestins,
œil, ongle, poumon, tête, ventre. Mais
un
geste
allié
à
celle
de la
chanson, la chanson de geste. Le
caractère épique
et
fantastique de l’œuvre
lié
aux moyens
d’expression dont elle évoque l’usage (palabre, chant, mimesis,
cinéma),
le
recueil
d’expériences
qu’elle
propose, la
continuation du déroulement
de traditions précédentes, tout
ceci
permet de discerner les
trois types de chanson de geste communément reconnus
bien qu’elle (l’œuvre)
ne s’y réfère pas de façon explicite. En
somme l’auteur est aussi trouvère
du verset vrai et
de
l’oil
le Tropàtor2 :
le
corps
pensé/es
dans le vif du sujet.
Surgit
d’une
autre
mémoire,
Renaud
de Montauban, et les Quatre Fils Aymon, chanson créée aux
allentours de mille deux-cent dans laquelle les « barons
rebelles » habitaient la Meuse et l’Ardenne. N’est-ce pas à
cette époque que commença
le cadrage,
l’entrelacement des rythmes saisissant le corps, leur
asujettissement et leur contrôle. Scansions,
processions, pélerinages.
Période
des six ages et tripartition du temps... 3
Parlé
picard, por dir quémin qu’cha va
Réveil
des chants, épopées, évocations riches de références
linguistiques et littéraires en langue picarde si chère à l’auteur
qui nous en dévoile la splendeur et l’originalité par sa création
nouvelle. Évoquant cette langue, Jacques Darras le rappelle :
Ce qui (…) fait l’originalité d’une littérature picarde
c’est (…) cette sensibilité au conflit culturel qui traverse les
Moyen–Âge, lorsque par quelque phénomène inconscient la Picardie
s‘est trouvée et révélée au point crucial de la dissolution de
l’Europe des fiefs.4
Une similitude en ce début de siècle qu’il
serait bien aventureux d’affirmer mais qui mérite toute notre
attention pour ce qu’elle représente comme exemple de l’’émergence
d’une pensée, d’une résistance pour aller plus avant. Son
emploi étant ici perçu non comme un retour ou une conservation
exclusivement identitaire mais comme capacité à construire un
nouveau départ.
Musique
en trois dés ou l’avènement de l’orchestrographisme5
Mémoire…
Les
comportements musicaux sont universels à travers les populations
humaines; (…)
ils affichent une grande diversité dans leurs structures, leurs
rôles et leurs interprétations culturelles (...) La musique
est liée à diverses activités sociales, à la fois rituelles et de
loisirs. Les origines de la musique sont étroitement liées à l'
évolution humaine et, en même temps, la musique représente l'un
des arts les plus anciens. Malheureusement, l'enregistrement
archéologique qui
concerne la préhistoire
est silencieux.6
Dans les Chants des quatre nouvelles branches du Manibogi, la musique
s’entend, se perçoit en deux brins de muguets d’où sonnent les
tinkerbells grâce à des références d’œuvres, compositeurs ou
d’interprètes et les fragments biographiques mêlés à ceux de
l’auteur.
Si
une
œuvre musicale
ne comporte aucune référence à quoi que ce soit et ne nous renvoie
pas à autre chose7
Ici avec l’écrit
c’est l’inverse : elle est citée (cette absence de
référence) en référence qui plus est dans le silence de la
lecture ! Pourtant, elle prend ici tout
son sens, livre les sens comme l’auteur les a pensés
et dans cet invariable en délivre plusieurs : les notes
musicales ou écrites se côtoient dans un même flot, les mélodies
chantées et strophes appellent d’autres souvenances, sociétales
ou intimes, des périodes mais aussi des souffles contraires à toute
orientation c’est-à-dire stylistiques, éthiques temporelles,
sociales, sacrées ce que je nomme tempête, les courants de vie, un
opus non chaotique, à plusieurs temps, où la croisée de mots par
façonnage l’imite. Dans
cette composante temporelle, la musique se
déploit
selon trois dimensions fondamentales : la
dynamique du récit
varie selon
des hommages ciblés,
une musicalité
se
lit
malgré (ou à cause?) de
cette
polyphonie des genres et des styles en
une
sorte de fusion comme dans le jazz. La prédominance de ces
dimensions varie ne
laissant au
lecteur le temps de s’habituer définitivement à tel ou tel
traitement formel mais précise le style propre
à l’auteur
(un
timbre)
et l’évolution de sa pensée. Cette
polyphonie
traduit l’ouverture
sur le monde et
sur les étapes
en
corps pensées
(émotion, sentiment, conscience).
Celle
d’une chasseur
cueilleur
mixant
la geste et le hurlement
des
loups !
Dans
une vision plus
sociologique,
une tentative de rapprochement entre l’œil et l’oreille,
une réparation à double usage, implicitement critique vis à vis de
ce même monde
par
trop discursif sans pour autant renoncer à ses bases et ses acquis
mirifiques dans
lesquels
se relient
métonymiquement
les
variations spectrales
visibles
et
audibles :
blanc, blues,
gris,
noir,
rythmiques
(alternance
de rythmes car il
y a autant de rythmes que de vies sociales),
ou
linguistiques
sans
prosélytisme
ou cristalisation
mais avec
cet
esprit d’investigation
créatrice.
Mystère
des origines et des premières danses
que
la résilience tente
de détourer
grâce
à la redécouverte
érudite
de
mots perdus
dans
le temps.
Une
valse à quatre temps, un chant astronomique à quatre branches
verticales.
II.
Figures mythologiques │because
dandysme
n'bouite sur rien
Le
récit s’appuit aussi sur de nombreuses références artistiques :
acteurs, auteurs, chanteurs, cinéastes, compositeurs, musiciens,
poètes, héros intemporels, personnages de BD livrés par haikus,
postcards, récits épiques et romanesques, de sciences fictions ou
de séries noires et autres thrillers. Tel des fils et filles de feu
de la poésie, les figures mythiques se succèdent au fil des
pages: John Cale, Perceval le Gallois, Ivar Ch’Vavar, Steve
McQueen, Benoît Poelvoorde, Saint Jude, Cézanne, Victor Hugo,
Jeffrey Lee Pierce, un chanteur-berger d’Auvergne probablement
Jean-Louis Murat, Jack Kerouac, Charles Mingus, etc… Si le
narrateur parfois solitaire en appelle aux rois, chevaliers, fées,
guerriers, gueux de toutes provenances, c’est en connaissance de
« cause ». En les dépeignant, il établit entre eux des
liens et tisse ainsi en substrat la trame de l’œuvre dont la
ferveur reste survoltée. Une mémoire artistique sociétale donc
mais déjà distanciée. Avancer, avancer à travers chants, rester
debout, rester vivant car l’héroïsme aime l’homme !
Soudain nous apparaît la genèse
du chemin d’Arthur. Commencement d’un nouveau cycle aux abords
d’un siècle balbutiant. Dans cette cartographie des mythes, les
figures expriment leurs propres trajets, leurs périples
géographiques. Parfois des éléments d’architectures se posent en
filigrane, des questions politiques, de morale et l’éthique
soudain sont balayées.
L’animalité
symbolique ou factuelle est présente sous différents aspects:
agneau, brebis, cerf, cheval, corbeau, corneille, dinde, hareng-saur,
loup, ours, papillon, poisson, poule, sanglier, tigre. Le loup
emblématique des quatre saisons y fait son apparition. Animisme,
chamanisme, druidisme… ? Et lorsqu’il évoque dans un ciel
gris du Paysage psychique, les oiseaux, ce sont des cœurs qui
s’envolent. Et la poésie, un cœur d’oiseau qui bat. Pour
combler les fissures du désamour s’érigent les textes. La poésie
fait foi et le dernier secours espérant et volontaire n’est pas
celui de la guerre mais celui de la joie qui peu à peu guérit
toutes les déchirures. Champs, chêne, citrons, coquelicot, forêts,
montagnes, orchidées… La nature est très souvent évoquée
faisant travailler l’imaginaire du lecteur et mort au vide !
Comment ne pourrions-nous à contre-courant des replis, user
d’universels, et persister sur cet échos, ce tremblement, cette
vibration tant que nous restons vivants?
III.
Histoire, les sacres et les massacres
L’histoire
galope au côté du narrateur en variations événementielles.
Ouverture et parcours entrelacé dans les couloirs du temps d’un
chasseur cueilleur en épopées, jonglant avec des contes ou périodes
historiques qu’il fait se rencontrer en nous rappellant leur trame
parfois similaire et d’une très grande inventivité narrative à
l’issu souvent tragique. Pourtant, grâce à une juxtaposition
temporelle parfois brève et souvent malicieuse, ces chefs-d’œuvres
de toutes portées voient parfois leur mode de hiérarchisation
s’effondrer. Des silhouettes sorties de la pénombre proclament
l’abjuration de nous d’en nous par certains contacts
ultra-rapides sur le quai énigmatique du temps. Christian-Edziré
Desquesnes est un passeur de frontières linguistiques et imaginales.
Il en souligne les récurrences en dernier ressort grâce aux destins
archétypaux dont la genèse puise dans les tréfonds de la condition
humaine.
L’écriture
pluri-référentielle interdisciplinaire, finalement reconstruit le
savoir en assimilant les plus anciens ou les plus récents et en
proposant une perception spirituelle. affranchie de la seule
dimension littéraire, religieuse ou politique sans pour autant
opprimer par une propagation sinon un appel à plus de reconnaissance
pour toute œuvre et toute vie en ce qu’elles ont
d’imprescriptibles. Oeuvres appellées à un traitement égal quant
à leur valorisation et leur diffusion dans la vaste société que
nous connaissons aujourd’hui.
Conclusion
de
la conclusion
L’aspect
multiple des nouveaux chants engage
à isoler dans cette œuvre des orientations phénoménales
(terme
propre à l’auteur) que
sont la musicalité
artistique y
compris
des langages,
les
mythologies,
les
religions
et
l’histoire
comme
autant
de moyens de
souvenance et d’anticipation active.
De
la Picardie à
la Belgique en passant par le
Pays de Galles
et Paris,
de la
poésie à la musique,
des grands
récits littéraires aux mouvements
artistiques, les
quatre
tomes des Chants
des quatre nouvelles branches du Manibogi
procèdent
d’une
même vigueur
pour
nous emmener vers
la
révolution
permanente
propre
à toute vie.
Ces
chants composent
le premier mouvement
en
geste matrice, du
Suromantisme, un concept que l'auteur a depuis
initié en d’autres
publications, sur scène
aussi avec
l'instrument à cordes
Blues, la Manicordion
Bleuse des Mabinogi et à
haute voie/x.
Béziers,
le 30/03/2018
Sempre
per la gioia, sempre
per il blues,
Anne, Scripta
21, Paulet.
NOTES
1.
La
citole est
un
instrument à cordes en
usage jusqu'au xive siècle.
D’origine
moyen-orientale, elle
est devenue par la suite un instrument médiéval très
utilisé en
Europe.
in
Citole,
Maurache ou guitare sarrazine,
sur www.midorimusique.com et
Dictionnaire
Picard, gaulois et françois contenant aussi les mots gaulois
approchants le plus du dialecte de la Picardie avec leur
signification en françois
par le RP Daire, mis en ordre, complété et publié d'après le
manuscrit autographe par Alcius Ledieu, éd.
Champion, Paris, 1911.
2.
Du
latin tropus issu
du grec ancien τρόπος tropos signifiant
« changement ».
Trouvère, du bas latin trovare
qui signifie composer un poème,
est
issu du latin populaire *tropare (composer,
inventer un air
d'où composer
un poème,
puis inventer,
découvrir : trovare en
italien, trouver
en français),
est aussi dérivé de tropus (figure
de rhétorique).
In
étymologie
fr.wiktionary.org/wiki/trouvère#fr
et
poète
lyrique de langue d'oïl aux xiieet xiiies.
(Huet, Orig.
des Rom.,
p. 158 ds Pougens ds Littré).
Dér.
de trouver*
; trovere est
l'anc. cas sujet d'un mot dont troveor était
le cas régime (1188 trovëors, Aimon
de Varennes, Florimont,
éd. A. Hilka, 13608). Centre National de Ressources Textuelles et
Lexicales
3.
Les
scansions du monde. L’épaisseur des rythmes à l’époque
médiévale À
partir de Jean-Claude Schmitt, Les
rythmes au Moyen Âge,
Paris, Gallimard, 2016. Carnet Zilsel,
Sociologie,
histoire, anthropologie et philosophie des sciences et des
techniques, 10 décembre 2016 https://zilsel.hypotheses.org/2740
4.
Jacques Darras.
Figures d’un évanouissement
Introduction à l’Anthologie
de Littérature Picarde au nord de la littérature française le
picard,
Coll. La Forêt invisible, éditions Trois Cailloux, 1985
5
Parce
que la danse de lettre, néologisme
scripté
pour l’occasion, issu
d’Orchesographie
(ib. Et
Traicté en forme de dialogue par lequel toutes personnes peuvent
facilement apprendre & practiquer l'honneste exercice des dances.
Thoinot
Arbea, anagramme de
Jehan Tabourot, chanoine de Langres,
1589)
et
d’Orchestrophone
(titre
d’une
des collections de la revue Ffwl Lleuw et
de l’un des nombreux
blogs littéraires et musicaux
de l’auteur (Vol.1
et 2).
http://orchestrophone2.blogspot.fr.
6.
Selena
Vitezovic. Instruments
de musique dans le néolithique des Balkans centraux.
Les
petites découvertes archéologiques et leur signification. Actes
des Jeux du Symposium et Jouets ,
2017. Musical
instruments in the Central Balkan Neolithic Archaeological
small finds and their significance. Proceedings of the Symposium
Games and Toys,
2017
Trad.
7.
Boris
de Schlœzer
et Marina Scriabine, Problèmes
de la musique moderne,
Paris, Les Éditions de Minuit, 1977 (1re éd. 1959), 200 p.2.
*****
D'origine Sarde (Barbagia) par sa mère et cévenole par son père, Anne Paulet est née à Alès-en-Cévennes en 1971.
Elle s'intéresse très tôt à la littérature et aux arts. Elle part vivre à Rome à l'âge de 20 ans.
De retour en France, elle exerce différents métiers, l'éditions, les domaines du livre, de la lecture publique & du spectacle vivant.
Prolifique en échanges et rencontres ne se réclamant d'aucune école, elle se consacre à présent à l'écriture.
Bibliographie
Anne Paulet Scripta
21
L'Art et les matières.
Pourquoi j'ai choisi le nombre d'or avec Jean Romain Lagarde,
éditions L'An demain, 2015
« THTH 2013 Tailleur
de HYPE » Texte écrit à l'occasion de la sortie des deux
premiers morceaux de l'album de l'artiste-auteur Thierry Théolier
2000 What the Fuck, Corporate Prayer et Suckers édité par le label
Nukod en octobre 2013.
« Nous avions énoncé
des principes sentencieux d’égalité mensongère », Revue des
Ressources, 2015
http://www.larevuedesressources.org/nous-avions-enonce-des-principes-sentencieux-d-egalitemensongere,2818.html
« Il y a dans notre
société », site Le chemin d'Arthur ouvert en parallèle de la
revue Le Moulin des Loups aujourd'hui Ffwl Lleuw, 2016
https://lemoulindesloups.blogspot.fr/2016/11/basement-ffwl-lleuw.html
« Le Flirt des 4 f
», Revue Ffwl Lleuw N°8, Mardi-Gras 2017 Editions : Sur le chemin
d'Arthur
« La société de
brique » (extrait), Le blog Ffwl Lleuw, 2017
« Furia identitaire
», Revue Ffwl Lleuw N°11, Automne-Toussaint 2017 Editions :
Sur le chemin d'Arthur
« Poètes du monde,
Anne Paulet, France : Paysage crève tableau, Les Trois Grâces,
L’Homme et la Science » (extraits)/ Revue Margutte
http://www.margutte.com/?p=23685&lang=fr
« Poeti dal mondo,
Anne Paulet, Francia : Paesaggio buca quadro, Le Tre Grazie, L’Uomo
e la Scienza » Traduit en italien par Enzina Sirianni /
http://www.margutte.com/?p=23685
Extrait d'échange
épistolaire, Revue Ffwl Lleuw N°12, Hiver 2017-2018
« City Rised désir
d'accessibilité », Revue Le Zaporogue XIII, Hiver 2017-2018
« Épilogue
des Chants des quatre nouvelles branches du Mabinogi. Post
face et pile ou Les quatre temps de l'écrit, un épilogue sans
craie »
Nouveaux chants des Mabinogi de Christiann-Edziré
Déquesnes, avec
une
préface du Professeur Francis Génes
http://mabinogiffwl2018.blogspot.fr/2018/04/epilogue-des-chants-des-quatre.html
Littérature (scripta
21)
http://scripta21.over-blog.com
scripta21 (page Facebook) : https://www.facebook.com/scripta21
scripta 21 (Google+) : https://plus.google.com/u/0/collection/o3soVE
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Travail photographique
(Photomatière 21)
http://scripta21.wixsite.com/matiere
Site internet
Verba volent :
http://eritoselen.wordpress.com
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